Faut-il défaire le capitalisme ?

Eric Dacheux durant son intervention.

Le conférencier après avoir expliqué son parcours, aborde 2 maux forts du capitalisme, la question du temps et celle de la financiarisation de l’économie. Il détaille des outils pour se ré approprier le temps et l’argent, à travers la slow économie et les monnaies locales.……… Il développe ensuite un concept de “Délibéralisme” pour se ré approprier le débat et exposer, confronter nos choix. Il ne faut pas séparer l’électeur, du citoyen, du croyant. Ce sont les hommes qui doivent faire et défaire les lois. On est en Démocratie, quand des personnes confrontés à un problème recherchent et mettent en oeuvre des solutions. C’est la question de l’éducation, de l’émancipation et de l’autonomie. La Démocratie c’est donner aux personnes qui rencontrent un problème, la capacité de le résoudre. Il conclut en affirmant qu’il est temps de reconstruire, nous sommes des citoyens, les chercheurs ne peuvent pas rester impuissants face à un monde qui court à sa perte……….

Après son exposé la salle a pu poser de nombreuses questions pour demander des précisions ou clarifier certains points ……

Depuis 200 ans la marchandisation du monde est combattue, depuis 200 ans elle s’impose sans cesse davantage. Alors que faire ? Se résigner ? Non : résister. Plier mais ne pas rompre. Tête haute, coeur léger, faire tout ce que l’on peut, au quotidien, pour rester un humain libre. Se souvenir des sinuosités de nos sens, retrouver le goût de la curiosité, des caresses, de la sieste… Ce livre s’adresse à toutes les personnes fatiguées par les combats militants mais pas assez domptées pour ne pas rêver d’un autre monde.
Cet ouvrage est écrit contre la résignation, pour la redécouverte des plaisirs simples de l’autonomie. Ni guide spirituel conduisant à la lumière du matin du grand soir ni manuel technique d’une résistance virile et guerrière, juste une aide. Une invitation à puiser de la vitalité dans notre colère, un peu d’espoir dans notre routine, beaucoup de volupté dans cette course éperdue qu’est la vie. Jouir c’est vivre, vivre c’est résister.

Bibliographie :

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