Et si on aimait la France de Bernard MARIS

Ce livre a été écrit suite à une réponse de Michel Houelbecq :

“On ne doit rien à son pays, Non on ne doit rien à son pays.”

Bernard Maris argumente une réponse autour de l’Histoire et de la Géographie de notre pays, il en appelle aussi à la littérature. Ecrire une passion française, le rôle de l’école de l’Instruction…Il évoque aussi la galanterie française et l’amour courtois. Il se demande aussi comment on devient un petit français. En guise de conclusion “Et la République “, il montre que les quartiers ne sont pas forcément abandonnés par l’Etat. C’est plutôt le renouvellement de l’immigration peu qualifiée, les regroupements familiaux qui  précarisent des populations fragiles. Il reconnait aussi que l’échec de la politique de sécurité dans les quartiers est un problème majeur.

La République n’a pas démissionné elle s’est peut être trompée de cible…..

 

142 pages achevé le 2 janvier 2015 aux Editions Pluriel

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